marche n°48

Marcher pour interrompre l'événement.

marche n°49

Marcher pour subvertir la solitude, la vitesse, l'affairisme et la consommation.

marche n°56

Marcher pour mourir debout.

marche n°58

Marcher pour s'opposer à la violence du monde.

marche n°90

Marcher pour protéger l'ineffable.

marche n°113

Marcher pour rattacher les territoires morcelés par la privatisation.

marche n°123

Marcher pour maintenir l'espace public.

marche n°125

Marcher pour refuser la dépossession de l'espace.

marche n°126

Marcher pour résister à l'annexion de l'espace.

marche n°130

Marcher pour faire obstacle à la fluidité du trafic automobile.

marche n°133

Marcher pour préserver la relation entre le voyageur et l'espace du voyage.

marche n°141

Marcher pour préparer la révolte.

marche n°185

Marcher pour maintenir la complexité de la ville et son opaque mobilité.

marche n°191

Marcher pour réintroduire partout les opacités de l'histoire.

marche n°197

Marcher pour ne pas être localisé mais pour spatialiser.

marche n°198

Marcher pour que perdure la pratique face à la trace.

marche n°213

Marcher pour dérréaliser la vraissemblance d'une continuité.

marche n°215

Marcher pour n'être ni arrêté en tableau ni circonscrit dans un texte.

marche n°216

Marcher pour fragmenter et détourner l'ordre immobile des villes.

marche n°223

Marcher pour se soustraire au regard de la ville.

marche n°257

Marcher pour ne pas être un "usager d'espaces arborés".

marche n°272

Marcher pour se maintenir sur le réseau des pistes oubliées.

marche n°289

Marcher pour protéger les chemins.

marche n°295

Marcher pour aller à rebours de la performance, d'une quête de l'extrême sponsorisée.

marche n°301

Marcher pour déjouer les impératifs de vitesse, de rendement, d'efficacité.

marche n°305

Marcher pour résister à ces impératifs du monde contemporain qui élaguent le goût de vivre.

marche n°320

Marcher pour rester debout.