marche n°183
Marcher pour enlacer son corps aux rues qui le tournent et le retournent.
marche n°185
Marcher pour maintenir la complexité de la ville et son opaque mobilité.
marche n°187
Marcher pour que le corps obéisse aux pleins et aux déliés de l'écriture d'un "texte" urbain.
marche n°189
Marcher pour insinuer une ville transhumante et métaphorique dans le texte clair de la ville planifiée et lisible.
marche n°205
Marcher pour créer du discontinu dans le texte urbain.
marche n°209
Marcher pour "parler" les trajectoires.
marche n°211
Marcher pour tourner des parcours comme on tourne des phrases.
marche n°214
Marcher pour structurer un parcours en mythe.
marche n°216
Marcher pour fragmenter et détourner l'ordre immobile des villes.
marche n°222
Marcher pour croiser d'autres exodes et faire entrelacs.
marche n°225
Marcher pour muer les lieux en passages.
marche n°231
Marcher pour produire d'autres voyages dans l'ordre fonctionnaliste et historique de la circulation.
marche n°233
Marcher pour que des riens ou des presque-riens symbolisent et orientent nos pas.
marche n°238
Marcher pour retourner à un exotisme proche par les détours du lointain.
marche n°240
Marcher pour se déraciner dans ses origines.
marche n°245
Marcher pour serpenter entre les coulures d'asphaltes et percevoir l'écriture d'une recomposition.
marche n°264
Marcher pour prévoir et surprendre la logique des routes.
marche n°295
Marcher pour aller à rebours de la performance, d'une quête de l'extrême sponsorisée.