marche n°75
Marcher pour redonner du sens aux routes.
marche n°112
Marcher pour transformer le monde en jardin.
marche n°113
Marcher pour rattacher les territoires morcelés par la privatisation.
marche n°183
Marcher pour enlacer son corps aux rues qui le tournent et le retournent.
marche n°189
Marcher pour insinuer une ville transhumante et métaphorique dans le texte clair de la ville planifiée et lisible.
marche n°191
Marcher pour réintroduire partout les opacités de l'histoire.
marche n°196
Marcher pour façonner des espaces, tramer les lieux, faire la cité.
marche n°197
Marcher pour ne pas être localisé mais pour spatialiser.
marche n°200
Marcher pour ouvrir des espaces d'énonciation.
marche n°201
Marcher pour actualiser les possibilités et les interdictions d'un ordre spatial.
marche n°203
Marcher pour accroître et sélectionner les possibles.
marche n°205
Marcher pour créer du discontinu dans le texte urbain.
marche n°211
Marcher pour tourner des parcours comme on tourne des phrases.
marche n°218
Marcher pour produire des non-lieux.
marche n°225
Marcher pour muer les lieux en passages.
marche n°245
Marcher pour serpenter entre les coulures d'asphaltes et percevoir l'écriture d'une recomposition.
marche n°257
Marcher pour ne pas être un "usager d'espaces arborés".
marche n°270
Marcher pour éviter le goudron.
marche n°278
Marcher pour tomber dans (ou éviter) les pièges du paysage, des reliefs et des infrastructures.
marche n°297
Marcher pour décider seul de son emploi du temps.